140. Segundo remedio.
141. La Revelación.
142. Los Sofistas que combaten una y otra institución, tienen bastante castigo con no vivir sujetos a ellas.
143. El que quiera hoy vivir racionalmente, debe acomodarse a la pureza de estas instituciones; desprendiéndose de los abusos que se han introducido en una y otra.
144. Laert. In Aristip. lib. 2. cap. 13.
145. Ces deux sectes de Philosophes; (los que niegan y confiesan natural en las acciones humanas) se sont également trompées; mais l'une & l'autre auroient èchappé a l'erreur, s'ils avoient considéré d'un oeil attentif l'Histoire du monde. Alors ils auroient senti que les siècles doivent necessairement amener dans le physique & le moral des révolutions qui changent la face des Empires; que dans les grands bouleversemens les intérêts d'un Peuple èprouvent toujours de grands changemens; que les mêmes actions peuvent lui devenir successivement utiles & nuisibles, & par conséquent prendre tour à tour le nom de verrueuses & de vicieuses. De l'Esprit. Disc. II. chap. XIII.
Consèquemment à ces mêmes principes (a que no hay en el hombre más virtud que lo que le es útil) on pourroit, si je l'ose dire, composer un catéchisme de probité, dont les maximes simples, vraies & à la portée de tous les esprits, apprendroient aux peuples que la vertu invariable dans l'objet qu'elle se propose, ne l'est point dans le moyens propres à remplir cet objet; qu'on doit par conséquent regarder les actions comme indifférentes en elles-mêmes; sentir que c'est au besoin de l'Etat à déterminer celles qui sont dignes d'estime ou de mepris; & en fin au Législateur, par la connoissance qu'il doit avoir de l'interêt public, à fixer l'instant ou chaque action cesse d'être vertueuse & devient vicieuse. Ib. chap. XVII.
146. Disc. L. chap. I.
147. Dasne igitur hoc nobis, Pomponi, (nam Quinti novi sententiam) deorum immortalium vi, natura, ratione, potestate, mente, numine, sive quod est aliud verbum, quo planius significem quod volo, naturam omnem regi? Nam si hoc non probas, ab eo nobis causa ordienda est potissimum. De Legib. lib. I. cap. 7. pag. 161. tom. 3. Edic. ad usum Delphini.
148. ...perobscura quaestio est de natura Deorum: qua e et ad agnitionem animi pulcherrima est, et ad moderandam religionem necessaria. De Nat. Deor. lib. I. cap. I. pag. 495 tom. 2.
149. Actus creaturarum irratiotialium, prout ad speciem pertinent, diriguntur a Deo quadam naturali inclinatione, quae naturam speciei consequitur. Ergo supra hoc dandum est aliquid hominibus, quo in suis personalibus actibus dirigantur: et hoc dicimus legem. Contr. Gent. lib. 3. cap. 114.